Bien que cela puisse paraître ce groupe n’est pas composé de chats en quête de reconnaissance. Quoi que cela pouvant être possible dans les quelques années à venir quand les chats domineront le monde peut être, mais revenons à l essentiel.
Complètement déjanté dans leur manière d’être mais aussi à travers leur musique mélangeant différentes influences allant de la pop sunshine au groove, The Cats Never Sleep reste inclassable en terme de musique. Ils arrivent tout de même à nous plonger dans leur univers psyché sous acide avec des petits chats autour ( eh oui je vous avez prévenu, ils sont toujours là ).
Leur premier album au doux nom de « Massage » est sorti le 17 février dernier chez Pop Club / Echo Orange. Autant vous dire qu’ils ne font pas les choses à moitié et que l’on risque de passer un bon moment en leur compagnie. Et justement rien que pour vous j’ai testé l’efficacité de cet opus ayant des propriétés décontractantes.
Casque sur les oreilles je me suis donc empressée, jeté ou devrais-je dire littéralement laissé aller sur des sons tel que « Parasol » ou « Hummus ». Si ces énergumènes valent la peine de se pencher sur leurs mondes bizarroïdes, pour ce qui est de la musique pas de surprise à l’horizon pour cet album.
Par contre, je leur décerne le prix du clip le plus kitch au monde illustrant le titre « Wide Open ». Et c’est là qu’ils excellent en créant la surprise totale entre la musique et le visuel très décalé. Après ce « shoot musical », on dit merci à The Cats Never Sleep ou plutôt devrais-je dire à Luciano LaBruccelle, Cobra, le Colonel G-Love, Boomer et Veggie Mac. Je vous avais prévenu avec des surnoms pareil on ne peut que les AIMER.
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